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Traductions chinoises de la Bible

© Chine Informations - La Rédaction

(miniature) Traductions chinoises de la Bible Traductions chinoises de la Bible

Au XIXème siècle ont débuté les premières transcriptions de la Bible en chinois, la perspective s'étant propagée au commencement du XXème siècle.

L'approfondissement de la traduction catholique

Les évangélistes catholiques ont réalisé les premières transcriptions de la Bible en langue chinoise. Toutefois, ce furent uniquement des réécritures consignées. Dans les années 1935, le jeune frère franciscain Gabriele Allegra, a traduit la première bible catholique chinoise. En effet, il a traduit l'Ancien Testament de l'hébreu original dans diverses langues, notamment en dialectes araméennes. A Pékin, les frères Solano Lee, Antonius Lee, Lee Bernardin ainsi que Ludovicus Liu se rejoignirent ultérieurement pour s'associer pendant une dizaine d'années. Subséquemment, en raison de la guerre civile chinoise dans les années 1948,  les frères furent obligés de se déloger au sein du Studium Biblicum de Hong Kong. Nonobstant une vingtaine de tentatives acharnées, ils parvinrent enfin à effectuer la publication du premier Ancien Testament, plus exactement dans les années 1954. La combinaison de l'Ancien et du Nouveau Testament en un unique recueil fut éditée au courant des années 1968.

Un converti catholique, serviteur de la République populaire de Chine qui fut également ministre au Vatican, connu sous le nom de John C Wu, a pareillement traduit le Nouveau Testament, ainsi que les cantiques des psalmistes en langue familière chinoise, dans les années 1946. Les paraphrases ne sont absolument et fréquemment pas transcrites comme pour être fleuries, néanmoins sa traduction est très notablement le développement explicatif des Psaumes.

Fonctionnement de la transcription orthodoxe

La réalisation des trois surprenantes traductions orthodoxes du Nouveau Testament a été menée à bien par l'archimandrite Gury ou Karpov qui est plus exactement le chef de la Mission des membres du 14ème clergé russe, dans le pays pékinois, entre 1858 et 1864. Le transcodage slave fut diffusé au courant des années 1859, telle que la concrétisation du dessein aura duré quatre années. La collaboration de multiples Chinois a permis l'amélioration ainsi que la finalisation de la publication dans les années 1864.

Le desservant Flavien ou Gorodecky, qui n'est autre que le 16ème chef de l'évangélisation ecclésiastique russe entre 1879 et 1883 eut recours à l'intronisation du dialecte chinois au niveau des services ainsi que du fonctionnement de l'actualisation de la transcription du Nouveau Testament en 1884. L'accommodation comporte des notes explicatives concises, dans une forme particulièrement apparentée à la transcription de la terminologie théologique. Par conséquent, Samuel Isaac Joseph Schereschewsky n'a traduit l'œuvre que partiellement, par le biais de la traduction protestante de la Bible.

Lors de la 18ème mission ecclésiastique russe qui fut mandatée par Figurovsky ou l'Innocent, qui est justement l'évêque de Pereyaslav, nommé ultérieurement métropolite de Beijing et surtout de la Chine. La réactualisation des ouvrages de Gury fut édictée dans les années 1910, grâce à l'emploi de la langue approximative du vernaculaire chinois.

Premières esquisses

La connaissance des messages transmis par le chrétien évangélique, l'investigation des missionnaires protestants, la transcription des idiomes vernaculaires, l'impression et également la dispersion des Bibles, peuvent s'approfondir en Chine.

Le révérend William Moseley Willis de Daventry dans le Northamptonshire, en Angleterre, a transcrit le premier ouvrage protestant de transcodage des Saintes Ecritures dédié aux Chinois.

Un épistolaire de la transcription chinoise qui été marqué par la combinaison des quatre évangiles, des Actes et des épîtres entières de Paul fut déniché par le révérend au sein du British Museum. Il a pareillement publié un mémoire concernant l'ostentation ainsi que la faisabilité de la transcription et de l'édition de la Bible en dialecte chinois, pour conclure à la circulation des Saintes Ecritures au milieu de ce gigantesque empire. Des phototypies de ces travaux furent adressées à de multiples meneurs chrétiens.

Interprétation de Marshman

Selon l'archevêque de Canterburry, l'impression chinoise de la Bible devrait être appuyée par le biais de la mission en faveur de la promotion de la connaissance chrétienne. Malencontreusement, quatre années plus tard, lors d'une délibération, le dessein a échoué. De ce fait, la tentative a redoublé en indépendance et vire quasiment à un désir de traduction de la Bible en version chinoise. Au courant des années 1800, un ministère a été dédié au transcodage des Saintes Ecritures dans le langage asiatique, ultérieurement lors de la formation du Collège anglo-hindou de Fort William dans la région de Calcutta. Les donneurs d'ordres ne se basent pas uniquement aux idiomes vernaculaires indiens, mais ajoutent dans leur objectif la préparation d'une mouture en chinois. Le Professeur Hovhannes Ghazarian nommé Lassar, de nationalité arménienne, qui est né et a étudié à Macao, a commencé  à entamer la traduction de  l'Evangile selon Saint Matthieu et il le finalisa dans les années 1807.

Postérieurement, l'ouvrage du professeur Ghazarian  fut prolongé  spécialement grâce à la diligence du Docteur Joshua Marshman, grâce auquel l'édition du Nouveau Testament fut proclamée au courant des années 1813. Par conséquent, en 1882, les Saintes Ecritures entières furent publiées par le biais de la Société biblique britannique et étrangère. Conformément à l'initiative, ce fut donc la première interprétation complète et célèbre qui fut éditée de la bible en langue chinoise. Néanmoins, son impression fut réalisée par les baptistes missionnaires de Setampore. La traduction semblait embryonnaire, identiquement à toutes les premières versions, toutefois Marshman s'ngagea durant seize années au sein de l'entreprise.

Marshman fut content de l'ouvrage indépendant de Robert Morrison, si bien qu'il a déclaré que s'ils s'entraidaient, les travaux pour la transcription des Saintes Bibles en version chinoise seraient grandement perfectionnés en l'espace d'une vingtaine d'annuités, identiquement à ce qui s'était passé une cinquantaine d'années auparavant. Malheureusement, ces deux traducteurs n'ont jamais pu comparer ni réviser leurs œuvres respectives. Pourtant, le révérend Josiah Goddard a quêté auprès du Conseil baptiste américain des Missions étrangères un accord pour la révision en totalité de la traduction du Docteur Marshman. Quatorze années après son arrivée sur les terres chinoises, ce dernier a exposé la version renouvelée du Nouveau Testament, donc dans les années 1853. Cependant, à son décès, l'on a décelé une légère progression de la traduction de l'Ancien testament, et ses œuvres furent poursuivies par le révérend doyen de la mission identique, résidant à Bangkok.

Retranscription

Le missionnaire anglais baptiste connu sous le nom du révérend Hudson a retranscrit un nouveau transcodage du Nouveau testament qui fut édité par Marshman, laquelle fut édictée dans les années 1867.

Version de Morrison et de Milne

Malgré le fait que le travail a été évolué à Serampore, une société identique de transcription entière de la Bible en langue chinoise a dirigé des travaux qui furent terminés en Chine. Au courant des années 18074, le révérend Robert Morrison a accosté à Guangzhou, semblable à un représentant de la London Missionary Society, et pourtant en sa qualité de missionnaire protestant en Chine. La fonction spécialisée qui lui fut attribuée consiste à traduire des versets bibliques, étant donné que la popularisation de L'Evangile dans les régions chinoises fut largement censurée par l'institution chinoise. Avant son départ de l'Angleterre, il a reproduit de façon harmonieuse le manuscrit des Evangiles qui fut évoquée auparavant, et achemina la copie en Chine. En conséquence, il a consacré son œuvre tel un fondement de sa transcription du nouveau testament, accomplie en 1813. A ce moment précis, il se rallia au révérend William Milne. Mauvaise fortune pourtant, à cause du gouvernement catholique de Macao, il a dû quitter la Chine pour Malacca. Malgré leur séparation, les deux compères ont étroitement collaboré au niveau de la traduction de l'Ancien Testament, du transcodage des livres historiques et de la traduction du livre de Job par Milne. De son côté, Morrison a transcrit les autres chapitres. La publication fut achevée en novembre 1819, ainsi que la révision complète manuscrite de Morrison. Son impression fut réalisée grâce à des blocs de bois, en 21 dimensions, en 1823.

Iconographie de la distribution des Saintes Ecritures jusqu'en 1908

La version de Morrison ainsi que celle de Marshman étaient imparfaites. Malgré cela, l'œuvre de Morrision présente plus de conformités avec l'original. Selon une missive à la société biblique, celui-ci a mentionné qu'il a fait de son étude un travail quotidien impliquant la correction en version chinoise de la Bible. De leur côté, les frères de la Mission Ultra-Gange sont censés détecter les erreurs et les imperfections dans la transcription. Ces dernières sont transférées au collège et conservées, puis sont instantanément utilisées comme étant les meilleures compositions. Le concerné a toujours nourrit l'espoir que son fils John Robert Morrison tienne sa promesse de devenir un illustre bénédictin chinois. Malheureusement, Morrison décéda prématurément, entraînant l'échec du voeu pourtant sur le point d'être réalisé, car le fils réussit dans le rôle de traducteur du gouvernement, au sein du bureau de son père mais n'avait nullement le temps de se dédier à cet ouvrage.

La réalisation primordiale de cette version, les diverses impressions ininterrompues et les obstacles qu'elle a dû traverser, sont essentiellement dus à la British and Foreign Bible Society qui a subventionné quelques 10.000 livres incluant les frais de traduction ainsi que  la circulation.

Traduction de Medhurst, Gutzlaff, et Bridgman

Karl Gutzlaff, Elijah Coleman Walter et Henry Medhurst ont réalisé une nouvelle transcription. De son côté,  JR Morrison a épargné quelques heures de ses fonctions officielles pour la perfection de la transcription. Au courant des années 1885, le travail sur le Nouveau Testament fut parachevé par l'intermédiaire de ces hommes et leurs collègues s'accordent à dire que le résultat était prodigieux. En théorie, la fonction du comité conctituait à la révision finale dans les années 1836. En 1840, il a pris notamment part à l'édition publiée par Gutzlaff de l'Ancien Testament. A part le fait d'avoir traduit l'Ancien Testament, Gutzlaff a égalemnet amélioré l'interprétation du Nouveau Testament qu'il avait concocté conjointement avec Medhurst, et il édita une douzaine d'éditions transcrites par ce dernier, dont chaque édition fut réétudiée et retouchée.

En Juin 1847 se déroula la première assemblée délégataire pendant laquelle les membres du comité constituaient l' évêque Boone de la mission épiscopale américaine, le révérend Dr Medhurst de la London Missionary Society, résidant à la fois à Shanghai, le pasteur W. Lowrie de la Mission presbytérienne américaine, Ningbo, le pasteur John Stronach de la London Missionary Society, Amoy et le révérend Bridgman de l' American Board of Commissioners pour les missions étrangères, à Guangzhou. M. Lowrie s'est toutefois cadavéré aussitôt que les ouvrages débutèrent, par conséquent le révérend William Charles Milne le précéda. Bishop Boone n'a plus honoré de sa présence les réunions des délégués, même nonobstant.

Le premier chapitre de l'Évangile de Saint Matthieu qui fut achevéne suscita  aucune suggestion de la part du Dr Bridgman. Ce qui impliqua que quand la version a été finalisée, il a récusé toute responsabilité, ce qui fait que la traduction fut  pratiquement considérée comme l'œuvre des missionnaires Anglais Medhurst, Stronach, et Milne.

Au sein du comité, il existait une forme de soutien fort nécessaire, par le biais d'une miltitude de membres de l'élite de la population indigène, dont l'un des noms les plus prestigieux était principalement celui du chercheur chinois Wang Tao. Ces savants ont donc tenu à poursuivre leur fonction quotidienne, à raison de 4 heures de labeur, entre 10h00 et 14 heures, et ceci sans qu'il n'y ait réellement de répit. C'est grâce à cet effort constant et soutenu que fut rendue possible la transcription du Nouveau Testament en Juillet 1850. Celui-ci a alors été diffusé moyennant l'accord favorable de tous les représentants, condition qui importera par la suite vue la décision de l'appellation de l'oeuvre par "La version délégués".

Si une assez courte période s'est écoulée après la parution du dit Nouveau Testament, il fut de nouveau envisager d'entrependre dans les plus courts délais, une rectification des textes à intégrer au contenu final. Toutefois, l'avis mitigé de certains décisionnaires au sein du comité, a suscité des formes de division dans l'entité, lequel déboucha invariablement sur la réalisation de deux versions bien distinctes du précieux manuscrit. D'une part, un groupe s'est prêté à la réalisation d'une version, il s'agissait en outre de l'œuvre des missionnaires Anglais Medhurst, Stronach, et Milne, traduction qui porta à l'époque la distinction de “La version délégués”. Il faut néanmoins préciser que l'appellation présente quelques inexactitudes. Malgré cet état de fait, les personnes chargées de cette traduction telle qu'énoncée ne sont nullement différentes de celles qui ont entreprises le travail actuel de réécriture du Nouveau Testament. Tant et si bien que le titre de version délégués fut octroyé à la totalité de la Bible, sachant de plus qu'il existe une similitude indéniable dans la nature du style adopté. Par conséquent, l'achèvement de la traduction de l'Ancien Testament a été effectif en 1853.

Version de Bridgman et Culbertson

D'autre part, un peu plus à l'écart des préceptes de base, une deuxième version fut éditée aux noms du Dr Bridgman et de celui du Dr Michael Simpson Culbertson. Ces deux missionnaires américains s'étaient effectivement détournés de l'autorité du comité des délégués.

Version Nankin

Une initiative a été menée par deux membres au sein du comité de délégués chargés de la traduction ainsi que de la production de nouvelle version de la Bible, il s'agissait de Medhurst et Stronach. Les représentants avaient eu l'idée d'insérer une toute nouvelle transcription en mandarin Anqing. Dans cette perspective, les tâches furent divisées: le Dr Medhurst était alors chargé de la traduction de l'Ancien Testament, tandis que le révérend J. Stronach prit pour sa part en charge les travaux de traduction du Nouveau Testament. La Bible entière a par la suite été éditée l'année 1856, selon la tarification proposée par la Société biblique. L'œuvre devient ensuite le fruit d'une première traduction non axée sur les principes d'un style littéraire classique.

Version du Comité de Pékin

En 1865, la nomination d'un comité au sein de la capitale a été effectuée afin de traduire le Nouveau Testament en mandarin de la région de Pékin. Les membres issus de cette association étaient en outre le révérend John Shaw Burdon de la Church Missionary Society , le Révérend Joseph Edkins de la London Missionary Society, le Révérend Dr. Samuel Isaac Joseph Schereschewsky de l' Église épiscopale américaine, le pasteur Dr. William Alexander Martin Parsons de la Mission presbytérienne américaine, ainsi que le révérend Henry Blodget de l'American Board of Missions. Ils mirent plus de six ans à finaliser leur travail. Par contre, la traduction de l'Ancien Testament dans le même dialecte fut réalisée sous l'impulsion d'un seul savant, le Dr Schereschewsky de l' American Bible Society qui le sortit entièrement à ses frais en 1874.

Version de John Griffith

Parmi les missions qui ont été attribuées par la Société biblique national de l'Ecosse en Chine, la traduction du Nouveau Testament par le révérend John Griffith de Hankou était incontestablement la plus importante. Les érudits de l'Empire du Milieu reconnaissent dans La version délégués un vrai chef-d'œuvre de composition chinoise, même si celle-ci comporte bon nombre de failles par rapport aux anciennes versions. Par ailleurs, un autre souci majeur est que le style de la réalisation témoigne de trop de complexité dans la mesure om la forme adoptée est difficilement compréhensible pour la population moyenne. D'autre part, le recours au langage familier dans la version en mandarin ne s'intégrait pas au style chinois, plus ancré sur les sujets d'orientation sacrée.  Toutefois, la traduction réalisée par s'est admirablement imprégné d'un juste milieu entre les deux catégories. 

 

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