Métier d'autrefois : Marchand ambulant
Dans le passé, certains villages isolés de montagne n'avaient pas de grands magasins. Dans le même temps, en ville, les femmes sortaient rarement de leurs maisons.
Pour satisfaire les besoins de base d'une famille ordinaire, un commerce appelé "huolangdan" prenait naissance (littéralement : "vendeur de rue d'une quantité de marchandises").
Ces vendeurs de rue se chargeaient de lourds chargements emplis du nécessaire quotidien : peignes, poudre corporelle, huile pour les cheveux, serviettes, brosses à dents, balais, éventails, aiguilles à broder, fils de toutes les couleurs, articles pour femmes et enfants, nouveautés, coupons de tissus, jouets ... Ils avaient tout ce q'uil est possible de demander.
Le vendeur de rue, tenant en hauteur un hochet-tambour, marchait le long des rues et des ruelles, annonçant sa venue au son cliquetant de son hochet-tambour, et recevant un accueil chaleureux des habitants.
Bien que le profit fut mince, " les petits ruisseaux faisaient les grandes rivières" .