En Chine, on ne connais pas partout la présomption d'innocence, et les Chinois en parlent ouvertement sur
Weibo, le Twitter chinois.
Par exemple dans certaines régions, les présumés coupables d'un crime sont placé sur une estrade sur une place publique, avec autour du coup, un panneau sur lequel est écrit le crime qu'il ont -peut être- commis.
Ainsi, de nombreux internautes chinois critiquent ouvertement cet héritage de la révolution culturelle. Des responsables régionaux, des maires, etc. n'hésitent pas , non plus à dénoncer ce genre de pratique sur les réseaux sociaux !
"Au moins à Hong Kong, les criminels sont cagoulés", explique un utilisateur de Weibo.
Même si dans quelques régions de Chine, les atteintes à la dignité humaine est plus forte qu'ailleurs, les réseaux sociaux chinois contribuent également à faire avancer les choses.