Après avoir vu ce film.... Je ne voulais rien dire, ni écrire
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. Seul le silence pouvait dire.
Et puis les émotions passées, et parce que l'auteur aux toutes dernières secondes du film laisse voir une porte qui s'entrebâille et laisse passer la lumière je me suis dit qu'il fallait réagir.
« On ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs » dit le dicton. Le disent également certains révolutionnaires, et tous ceux qui prônent que la fin justifie les moyens.
Une espèce qui en règle général ne fait pas dans la dentelle ni le velours....
Il reste hélas, que l'homme n'est pas un oeuf et que le traiter comme un produit fermier « traîne (toujours) une fin funeste » pour ceux qui s'y livrent.
Il est heureux que la mort en fin de vie, réelle « parfaite égalité » mette un point final à certaines existences qui ont pesé lourd dans l'Histoire de notre Humanité souffrante.
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La vie n'est déjà pas toujours bien drôle, et il faut encore que des bourreaux (espèce qu'on ne trouve pas dans la gente animale) s'attachent à la rendre abjecte...
Qu'est-ce que le plus terrible.... Gazer de pauvres gens ou les laisser mourir de faim ?
D'un côté une mort rapide, de l'autre une mort lente. Toutes deux sont atroces.
Dans la balance du Jugement des Hommes les deux ignominies se valent.
L'Histoire a parlé pour les uns ; elle n'a pas encore dit son dernier mot pour les autres.