09/11/2012 à 03:38 - La tentative du 14e Dalaï-lama de vendre les îles Diaoyu avortée
Lors de la conférence de presse tenue à Yokohama du Japon le 5 novembre, le 14e Dalaï-lama a appelé impudemment les îles Diaoyu « îles Senkaku » et a accusé la Chine d'être responsable de la vague antijaponaise causée par l'éducation extrême antijaponaise en Chine continentale. Il a calomnié la Chine continentale comme une société fermée et privée d'information pour que beaucoup de Chinois prennent toujours les Japonais pour les militaristes. « C'est pourquoi la fureur chinoise s'est déclenchée après la nationalisation partielle des îles Senkaku. »
Comme tout le monde le sait, les îles Diaoyu est le territoire intégrant de la Chine. La contestation sur les îles a été provoquée délibérément par l'aile droite japonaise. Dans ces circonstances, le gouvernement japonais a incité les agissements de l'aile droite au lieu de l'arrêter de sorte que la mise en scène de la farce de « l'achat des îles » a détérioré les relations bilatérales entre la Chine et le Japon. En revanche, le gouvernement chinois a pris des mesures fermes pour riposter au Japon. L'indignation du peuple chinois est juste et nécessaire. Les paroles du Dalaï-lama visant à complaire au Japon l'opposent à la population chinoise de 1,3 milliards.
L'acte insensé du Japon a soulevé des protestations intensives à la partie continentale et au Taiwan de Chine: Les personnalités non gouvernementales de la partie continentale, de Taiwan et de Hongkong se sont unies dans cette bataille; Les ressortissants chinois à l'étranger ont organisé des manifestations et ont publié la publicité souveraine « Les îles Diaoyu appartiennent à la Chine. » Tous les moyens sont utilisés pour préserver l'intégrité de la souveraineté de Chine.
Rien n'est plus éloquent que les faits. Préserver la souveraineté des îles Diaoyu de Chine est non seulement le devoir de la partie continentale, mais aussi le souhait fort de tous les Chinois, à l'intérieur et à l'étranger.
Le Dalaï-lama dit intentionnellement que seulement la partie continentale chinoise est anti-Japon à cause de sa fermeté à l'extérieur. C'est une calomnie pure et simple quant à l'ardeur patriotique de toute la nation chinoise, y compris les Chinois au Taiwan, à Hongkong et à Macao ainsi que les ressortissants à l'étranger.
La Chine n'a jamais pratiqué une éducation antijaponaise. Même si le militarisme japonais a perpétré des forfaits innombrables contre le peuple chinois pendant la Seconde Guerre mondiale, le peuple chinois voue jusqu'à maintenant une amitié au peuple japonais.
Quelques jours avant, certains touristes japonais ont été bloqués par la tempête de neige dans la province du Hebei. Les habitants locaux ont fait tout leur possible pour les sauver. Ce qu'on lutte contre, c'est l'aile droite d'un petit nombre et la renaissance du militarisme au Japon. Afin de nuire à la relation sino-japonaise, Dalaï-lama dit qu'une grande partie des Chinois ont encore fait exprès une liaison entre le peuple japonais et le militarisme. Son motif malveillant est au vu et au su de tout le monde.
Pour Dalaï-lama, ce genre d'acte n'arrive jamais seul. Le 2 novembre, il a accepté l'interview exclusive de « India's Hindustan Times ».
« Auparavant, je pense souvent que l'Inde montre trop prudente sur le problème du Tibet, alors que maintenant, elle en durcit son attitude. D'après moi, l'Inde et la Chine ne peuvent pas établir une confiance mutuelle avant la normalité de la situation du Tibet. » A cette occasion, Dalaï-lama déclare. Ainsi, on peut en déduire que Dalaï-lama se fourre partout pour semer la discorde entre la Chine et d'autres pays.
Le Dalaï-lama utilise souvent cette ruse de la vente du territoire chinois afin d'être soutenu par certains pays avec des buts cachés. Il vend le Tibet en prétendant que « l'Inde a plus de raison pour posséder la souveraineté du Tibet » ; Il vend ses ancêtres en déclarant que «Dawang fait partie intégrante du territoire indien » (Le département de Dawang, dans la préfecture du sud tibétain, possède des temples construits par le cinquième Dalaï-lama, et également pays natal du sixième Dalaï-lama). Il veut voire même vendre le nord-est de Chine, la province du Taïwan, la région autonome de Mongolie intérieure ainsi que la région autonome ouïgoure du Xinjiang. Dans son autobiographie « Liberté en exil », il les a déjà séparés de la Chine. Il vend enfin lui-même. Il prône partout qu'il est fils de l'Inde. Pour en convaincre, il jure ses grands dieux : « Si tu ouvre mon cerveau, tu découvriras que je suis cent pour cent Indien. » Déplorablement, à part de vendre sa propre âme, il ne sera jamais en mesure de vendre aucun pouce du territoire chinois !