Les tentatives de provoquer "un découplage forcé" au Xinjiang ne réussiront pas
Les tentatives de certaines forces politiques de provoquer "un découplage forcé, un chômage forcé et un retour forcé à la pauvreté" au Xinjiang sous le prétexte de droits de l'homme ne réussiront pas, a déclaré lundi Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Mme Mao a fait ces remarques lors d'un point de presse en réponse à une question à ce sujet.
D'après des informations, certaines entreprises allemandes, dont Volkswagen et BASF, envisagent de céder leurs intérêts commerciaux dans le Xinjiang en raison des préoccupations concernant le soi-disant "travail forcé" et les "camps de détention" dans la région.
Selon la porte-parole, lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a noté que certaines forces politiques avaient répandu trop de mensonges sur le Xinjiang et produit trop de désinformation pour le monde, et que le "travail forcé" en était un exemple. Ces mensonges sur le Xinjiang visent à provoquer des perturbations, empêchant ainsi le développement et la revitalisation de la Chine, a également indiqué M. Wang.
Le Xinjiang jouit maintenant de la stabilité sociale, du développement économique, de l'unité ethnique et de l'harmonie religieuse, et les droits et les intérêts de tous les groupes ethniques du Xinjiang sont efficacement protégés, a noté Mme Mao.
"Nous espérons que les entreprises concernées respecteront les faits, distingueront le vrai du faux et saisiront l'occasion d'investir et de se développer au Xinjiang", a-t-elle ajouté.