Des experts mettent en garde contre la sous-estimation des "tumeurs indolentes"
Des experts sanitaires ont mis en garde contre la sous-estimation des risques de "tumeurs indolentes" à l'approche de la "Semaine nationale contre le cancer" du 15 au 21 avril.
Certains cancers, qui affichent une croissance relativement plus lente, un caractère moins invasif et une probabilité plus faible de métastases par rapport aux tumeurs malignes typiques, sont appelés "tumeurs indolentes". Par exemple, on peut citer la majorité des cancers différenciés de la thyroïde et le cancer de la prostate.
Selon les experts, même si les patients atteints de "tumeurs indolentes" possèdent généralement un taux de survie relativement élevé, ces tumeurs ne doivent cependant pas être sous-estimées.
Dans certains cas, même les tumeurs indolentes peuvent adopter des formes plus invasives, en particulier lorsque l'environnement de la tumeur change ou que davantage de mutations génétiques s'accumulent. Selon les experts, la clé réside donc dans un dépistage, une détection et un traitement précoces.
Grâce à la promotion continue du dépistage, du diagnostic précoce et du traitement du cancer en Chine, davantage de "tumeurs indolentes" sont détectées assez tôt, ce qui permet une intervention rapide et améliore le taux de survie des patients.