Lors d’un congrès organisé à Rome mardi 21 mai, le pape François et le secrétaire d’État du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, ont explicitement tendu la main aux autorités chinoises, en se montrant ouverts à une Église catholique revêtant un « visage chinois ».
Des discours tenus en présence de représentants du régime envoyés par Pékin.
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